

La "familia grande" : parmi les raisons de se taire...
Que puis-je encore écrire sur ce livre qui n'ait pas été dit, écrit ou commenté? Dire qu'il faut lire ce livre, car il est magnifiquement écrit, parfois slamé, écrit dans un souffle, qui nous tient. Dire que ce livre prolonge selon moi les mots de Barbara (peut-être évoqué dans L'aigle noir,1970), d'Eva Thomas (Le viol du silence,1986), de Christine Angot (L'inceste,1999), de Virginie Despentes (King Kong Théorie, 2006), de Flavie Flament (La consolation, 2016), d'Andréa Besc